Le Tribunal fédéral confirme la décision de l’instance précédente, selon laquelle il a été admis, dans le cadre d’une appréciation anticipée des preuves, que le recourant avait immédiatement constaté un dommage à son véhicule. Ce dommage s’étendait aux deux portes du véhicule et il l’avait lui-même causé par une collision latérale. Or, l’information de la collision à la police n’a été faite que six heures plus tard, ce qui ne peut clairement plus être qualifié de « sans délai ».